Politique et publicité de font pas bon affichage à quelques mois d'une présidentielle... L'humoriste a été privé de ses affiches dans le métro parisien jeudi dernier en raison du titre de son spectacle, qu'il jouera entre les deux tours de l'élection présidentielle : “En mai 2012 Stéphane Guillon s'en va aussi...”. Une référence à la fin du mandat de Nicolas Sarkozy, que la RATP ne peut pas coller sur ses murs, en raison de son caractère politique. En revanche, la société JC Decaux a accepté de relever le défi et va coller les affiches de Guillon sur ses panneaux SNCF, ses colonnes Morris et son mobilier urbain dans Paris.