La capitale fait partie des villes les plus recherchées sur le site de SeLoger. C’est donc en toute logique que Paris soit le terrain de jeu de leur dernière campagne, notamment diffusée sur leurs réseaux sociaux.
Une série de 4 visuels, réalisés par l’agence Herezie, propose des plaques originales adossées sur des bâtiments parisiens ayant vu passer de grands artistes musicaux. La marque spécialiste de l’immobilier rend ainsi hommage à Edith Piaf, Mozart, Dalida et Henri Salvator.
Mais les plaques « voisins célèbres » de SeLoger ont fait vivement réagir Emmanuel Grégoire. Le Premier adjoint à la Maire de Paris en charge de l’urbanisme, de l’architecture, du Grand Paris et des relations avec les arrondissements, a pointé le côté « illégal » et a même menacé de faire « parvenir la facture » pour les « dégâts sur les façades » !
Une réaction à côté de la plaque qui prouve l’efficacité de cette campagne et que personne n’a été vérifier sur place. SeLoger a répondu, en indiquant que « cette campagne sur les plaques commémoratives a été créée numériquement. Il n'y a donc eu aucun impact sur les façades parisiennes. » Piégé, Emmanuel Grégoire a conclu en répondant que « comme c’est de la délinquance virtuelle l’amende sera aussi virtuelle » …
Merci de l'intérêt que vous portez à notre communication. Cette campagne sur les plaques commémoratives a été créée numériquement. Il n'y a donc eu aucun impact sur les façades parisiennes. En vous souhaitant une bonne journée.
— SeLoger (@SeLoger) December 18, 2023