L’homme qui tire plus vite que son ombre est de retour débarque dans notre capitale. Les premières cases, la couverture, et l’histoire ont été dévoilés par Le Parisien. On découvre que les dessins de ce 80ème album de Lucky Luke nous emmèneront dans des lieux très emblématiques de Paris : la Gare Saint Lazare, le Boulevard Haussmann, l’hippodrome d’Auteuil, …
Mais aussi des personnages français de l’époque comme Madame Bovary, Gustave Eiffel, Claude Monet ou encore Victor Hugo. « Un cow-boy à Paris » fera-t-il aussi bien que le précédent album, qui s’était vendu à 380 000 exemplaires ? Réponse en librairies dès le 7 novembre prochain.
En raccompagnant les Daltons en prison, en plein désert, Lucky Luke rencontre un sculpteur français qui trimbale une gigantesque main armée d’une torche… Il s’agit d’Auguste Bartholdi (1834-1904), le créateur de la statue de la Liberté, offerte par la France aux Américains à la fin du XIXe siècle. L’artiste entame une tournée de promotion à travers l’Ouest. Car si la statue est terminée et prête à être livrée, il manque de l’argent pour financer son gigantesque socle et Bartholdi cherche à en récolter auprès des populations indigènes. Un parcours plein de dangers et semé d’embûches. D’autant qu’un directeur de pénitencier, le méchant de l’histoire, rêve de construire une prison modèle sur Bedloe’s Island (devenue l’île de la Liberté), à l’entrée du port de New York, où doit être implanté le monument. Toujours prêt à défendre le plus faible, Lucky Luke va prendre le Français sous sa protection. A la demande du vice-président américain, il va même accepter de l’escorter jusqu’à Paris. Il y rencontrera Madame Bovary, Gustave Eiffel, Claude Monet ou encore Victor Hugo et s’initiera aux joies des cuisses de grenouilles et à la mauvaise humeur des garçons de cafés. Quant à Jolly Jumper, que tout le monde appelle « Joli Jean-Pierre », il trouve le moyen de s’illustrer dans une course hippique à Auteuil.